July, quinze ans, vit dans l’ombre protectrice de sa sœur aînée, September. Mais lorsque cette dernière est renvoyée du lycée, leur équilibre se brise. Isolées dans une maison au bord de la mer, les deux sœurs se retrouvent seules face à une relation qui vacille…
PRIX UNIVERSCINÉ AUX ARCS FILM FESTIVAL | |
| September & July réalisé par Ariane Labed (2025) | |
| July, quinze ans, vit dans l’ombre protectrice de sa sœur aînée, September. Mais lorsque cette dernière est renvoyée du lycée, leur équilibre se brise. Isolées dans une maison au bord de la mer, les deux sœurs se retrouvent seules face à une relation qui vacille… Avec September & July, Ariane Labed adapte librement le roman Sœurs de Daisy Johnson et signe un premier long métrage envoûtant, entre drame psychologique et conte trouble. Tourné en pellicule 16 et 35 mm, le film déploie une mise en scène sensorielle et tendue qui capte les failles de l’adolescence, la force du lien sororal et la perte des repères. Une expérience immersive, hypnotique et singulière. | |
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| L'ENTRETIEN DE LA RÉDACTION |
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Premier long métrage de Laura Piani, Jane Austen a gâché ma vie ressuscite avec brio la rom-com anglaise classique, où l’humour se mêle à la romance avec une touche de magie. On y retrouve une héroïne aussi maladroite que charmante, Agathe, interprétée par Camille Rutherford (Le Livre des solutions, Anatomie d’une chute), incarnant une figure délicieusement anachronique, perdue dans un univers où les quiproquos se multiplient à la manière des classiques de Jane Austen, dont l’ombre plane sur le film. | |
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L'ACTUALITÉ À L'ABONNEMENT |
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Mysterious Skin réalisé par Gregg Araki (2004) | |
| Adepte des extrêmes et figure marquante du New Queer Cinema, le réalisateur américain Gregg Araki aborde de front la pédocriminalité dans Mysterious Skin, à travers le destin croisé de deux jeunes hommes brisés par le même homme. « L’été de mes huit ans, cinq heures de ma vie ont disparu », déclare en voix off, Brian (Brady Corbet), hanté par une amnésie qu’il interprète dix ans plus tard comme un enlèvement extraterrestre. Enquêtant sur les aliens, il retrouve Neil (Joseph Gordon-Levitt), l’autre victime. Neil, lui, se souvient de tout et s’autodétruit dans la prostitution. Pour représenter la dissociation vécue par ses personnages, Araki fait le choix fort du ton expérimental avec des digressions oniriques qui viennent alors nous hanter durablement. Trash et chaotique dans le fond comme dans la forme, Mysterious Skin demeure l'un des films les plus troublants et révoltants. | |
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IL N'Y A PAS QUE LES FILMS DANS LA VIE : LE SON DU WEEK-END |
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Bonne(s) séance(s) sur UniversCiné ! |
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